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Shin'ichi Takagi | Les dingues et les paumés

Shin'ichi Takagi
Chien de garde
Age : 62 ans
Métatype : Humain
Allégeance : Le bien commun
Occupation : Détective
Quartier : Druj (bureau) / Asgharta (appartement)
Comptes : Piotr Askhan & Nemhain Yhel
Points : 249
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Dim 13 Mar - 22:19

# Shin'ichi Takagi

  • Nom Takagi
  • Prénom Shin'ichi
  • Age 62 ans
  • Métatype Humain
  • Etat civil Célibataire
  • Occupation Détective
  • Allégeance Le peuple
  • Finances Compliquées
  • Quartier Druj (bureau) / Asgharta (appartement)
  • Groupe Citoyens

Je suis un ordinaire

Avant sa disgrâce, Shin’ichi a amplement profité des finances de son emploi et pourvues par sa famille pour améliorer son corps trop faible pour tenir tête aux métatypes plus costauds ou aux adeptes.
Désormais plus composé d’acier que de chair, il a volontairement fait le choix d’embrasser cette apparence cybernétique afin de se rendre plus imposant. D’implants autrefois de premier choix, il doit aujourd’hui composer avec les moyens du bord et a dû apprendre à les entretenir lui-même à défaut de pouvoir louer les services d’ingénieurs comme par le passé.

Ses améliorations les plus notables sont ses yeux, qui permettent notamment l’affichage de la réalité augmentée et permettent de se coupler avec un pistolet intelligent et sa gorge, prolongement naturel de sa colonne vertébrale renforcée par endosquelette. Son nez, ses pommettes et ses mains affichent également quelques lignes d’acier, signe qu’ils sont tout autant solidifés.
Il dispose également de réflexes câblés, qui lui permettent d’agir (et surtout réagir) plus rapidement. De plus, divers implants nanotechnologiques améliorent sa mémoire et ses facultés d’analyse, modifications dont il bénéficie amplement dans son métier et lui permettent de se créer une sorte de "palais mental", très utile pour repasser au détail les scènes qu’il a déjà investiguées.

Tout ce qu’il fait est pour lui de l’ordre de l’utilité publique et, si la cyberpsychose doit le guetter dans un avenir proche, il considère cela comme un juste sacrifice pour protéger les plus démunis. De toute manière, il préfèrera se donner lui-même la mort que devenir un danger mortel pour les autres.

Histoire

Shin’ichi est le fils d’un couple de hauts corporatistes japonais travaillant pour Fuchi Industrial Electronics. De son pays natal, dont il partira avant même que son âge ne devienne un nombre, il ne gardera que la langue et certaines coutumes auxquelles il ne prête plus grande importance mais que sa famille s’est toujours évertuée à faire perdurer chez les Takagi.
Aîné de trois enfants, de grandes aspirations reposèrent très tôt sur ses épaules. Suivre la voie, dans quelque domaine d’ingénierie que ce soit, de ses géniteurs en était une.

Arrivé très jeune à Nexus des suites d’une mutation de ses parents qui s’étaient vus proposer une brillante promotion pour travailler en collaboration avec Tyr Inc., il est avant tout un enfant du cru de sa haute ville. Il y suivit un cursus scolaire prestigieux, enseigné par des humains, où il se révéla très bon élève, si ce n’était pour les turbulences que ses professeurs déploraient régulièrement. C’était qu’il ne savait pas répondre aux provocations autrement que par ses poings et s’émouvait particulièrement de tout ce qu’il considérait comme un affront envers ses proches.
Ce fut pour tempérer ses ardeurs et lui apprendre la discipline qu’on l’inscrivit très jeune à divers cours d’arts martiaux, qui eurent le mérite de lui enseigner une rigueur qui l’accompagna toute sa vie. Il ne s’assagit pas complètement pour autant, surtout lorsque des personnes en situation de désavantage semblaient avoir besoin d’aide, mais au moins il en ressortait avec moins de bleus qui auraient pu être facilement évitables.

Il ne fut pas surprenant, mais pas moins décevant, de constater qu’avec le temps son intérêt pour les sciences s’étiolait au profit de domaines moins prestigieux. Shin’ichi voulait aider, mais pas depuis un bureau d’études comme le faisaient ses parents. Non, lui souhaitait être au plus proche des gens et avoir un impact concret sur leur vie. Convaincre le patriarche Takagi de le laisser intégrer l’académie de police fut un combat de longue haleine mais il en sortit vainqueur.
Arrivé dans le peloton de tête de son examen final, une place bien chaude d’inspecteur l’attendit au commissariat Arkona.

Les premiers temps passés là-bas furent assez similaires à ce à quoi il s’était attendu ; un peu plus de paperasse à remplir peut-être. C’était qu’il était particulièrement fier du travail qu’il accomplissait et, cantonné à la belle Nexus telle qu’il l’avait toujours connue, n’avait encore aucune conscience de ses dysfonctionnements les plus profonds. Pur l’heure, effectif très prometteur, une belle carrière sans heurts lui semblait toute tracée. Jusqu’à la tristement célèbre Nuit de la Rage de 2129.
Faisant partit des effectifs dépêchés pour contenir les violences, ses convictions se trouvèrent brutalement ébranlées lorsqu’elles se confrontèrent à la complaisance de ses coéquipiers face aux personnes qu’ils étaient censés appréhender. Pire encore fut de reconnaître les visages de certains d’entre eux qui se donnaient à cœur joie aux violences contre les métahumains. Pour Shin’ichi, ce fut la pire des trahisons possibles. Faisant fi des ordres qui lui étaient donnés, son objectif premier devint l’arrestation de ces « collègues ». Oh, ça n’avait pas plu et, au milieu de cette boucherie, un explosif duquel il n’eut pas le temps de se protéger mis fin à son excès de zèle.
Il se réveilla à l’hôpital quelques jours plus tard, hagard, dans un corps qui n’était plus complètement le sien –cadeau de ses parents inquiets qu’il ne se remette pas de ses blessures. Ignorant une fois de plus les suppliques de sa mère pour rejoindre un métier moins dangereux, il reprit la route du commissariat dès qu’il fut guéri.

Evidemment, les choses ne redevinrent jamais comme avant.
Les connexions de la famille Takagi lui évitèrent de lourdes sanctions pour son insubordination et on se contenta de le garder sous examen psychologique pour les semaines à venir, retardant de fait la promotion de commandant divisionnaire qui lui était promise. Entre déception de ses supérieurs et hostilité de ses pairs, l’inspecteur ne se sentait plus autant à sa place que ç’avait été le cas jusque lors.
Pourquoi rester alors qu’il prenait progressivement conscience de la complaisance de sa hiérarchie envers les plus fortunés ; humains de préférence ?

Cette question le tourmenta longtemps, jusqu’à ce qu’il n’en arrive à la folle conclusion qu’il lui fallait redoubler d’efforts pour changer les choses de l’intérieur. Retrouver sa grâce perdue de jeune prodige pris du temps, il lui avait fallu montrer patte blanche de nombreuses fois pour prouver qu’il avait pleinement repris ses esprits depuis ce petit incident, mais finalement cela avait payé. Quoiqu’étroitement surveillé, beaucoup lui en voulaient toujours de s’être retourné contre eux et attendaient le moindre signe de faiblesse pour lui bondir à la gorge, l’inspecteur parvint finalement à décrocher la promotion qui lui était due des années plus tôt.
De nouveau persuadé qu’il œuvrait pour le bien du plus grand nombre, s’occuper des enquêtes peu prestigieuses dont pas grand monde ne voulait lui convenait très bien.

Puis vint une nouvelle affaire.

Ce qui avait commencé comme une investigation des plus banales (un nain vole une corporation et tous les humains sont en émoi) lui avait permis de mettre au jour toute une histoire de corruption, profondément ancrée dans leur fonctionnement, dans laquelle sa hiérarchie était bien évidemment impliquée.
Ce fut la seconde crise de foi de Shin’ichi, celle de trop. Les doutes qui l’étreignaient depuis la Nuit de la Rage refirent surface, illuminant sous un nouveau jour de nombreux comportements qu’il avait toujours trouvé étranges sans jamais en trouver la source. Il continua son enquête contre l’avis de ses supérieurs, forçant ses accréditations pour accéder à des informations auxquelles il n’avait pas le droit, furieux et révolté mais désemparé face à l’étendue de ce qu’il découvrait.
Ce qui lui avait semblé être une tâche colossale devenait subitement titanesques, surtout lorsqu’il lui semblait être le seul à se sentir concerné.

Bien sûr, ses agissements ne mirent pas longtemps à se savoir et, au vu de ses insubordinations de plus en plus fréquentes, on ne tarda pas à l’envoyer devant le tribunal correctionnel. Avec peu d’éléments pour se défendre d’un crime dont on le jugeait déjà coupable, c’est encore une fois à son nom qu’il dût d’éviter le pire. Sans qu’il ne se soit embarrassé de lui demander son avis, le patriarche Takagi s’était occupé de graisser quelques pattes pour minimiser la sanction de son fils. C’était la dernière faveur qu’il lui accordait grâce à l’insistance de sa sœur ; désormais il ne pourrait plus compter sur son soutien tant que Shin’ichi n’aurait pas redoré son nom. Il l’avait déjà par trop de fois terni par ses actions impulsives.

Toujours policier, donc, mais relégué au commissariat Posid de la basse ville. Il s’y ferait. Plus que jamais, il était persuadé qu’il pourrait changer les choses, et il le devait d’autant plus qu’il était désormais lui-même endetté de la corruption qui lui avait permis de garder son poste. Ou presque.

Ce brusque changement de train de vie avait été bien plus compliqué à vivre qu’il ne s’y était attendu ; de ses revenus drastiquement raréfiés au taudis qui était tout ce qu’il pouvait se payer, sa chute n’en était que plus amère. Il résista cependant à l’envie de se lamenter sur son sort grâce à une froide résignation –vivre ce que d’autres avaient connu depuis leur naissance ne le confortait que plus dans ses idées.
Ce ne fut que pour se retrouver à l’hostilité même pas dissimulée de ses nouveaux collègues. Du chrome trop propre, trop bien huilé, ses mésaventures de la Haute dont ils avaient eu vent et ses discours de grand naïf, qui aurait la moindre once de sympathie pour un de ces corpos qui avait toujours connu le grand luxe ? Enfin se retrouver le nez dans la merde, il a que c’qu’il mérite.
Personne ici n’avait le temps. Pas le temps de s’occuper de ceux qui, en dernier espoir, venaient leur demander de l’aide. Pas le temps de remettre en cause ce qui les retenait enfermés dans cette bâtisse délabrée.
Le temps pour accepter les pot-de-vin des gangs du coin, ça en revanche…

C’en fut trop pour Shin’ichi qui, sermonné une énième fois pour ses aspirations ridicules, pris la dure décision de démissionner pour se mettre à son compte.
Les affaires ne se portent pas bien, s’il y a une chose qu’il n’est pas c’est bien commerçant, et il se montre toujours aussi zélé dans les enquêtes qu’il accepte de traiter ; son but premier reste d’aider tous les citoyens dans le besoin de Nexus. Du moins, est-ce ce qu’il aime à se répéter lorsqu’il doit se mêler au monde de la nuit et que les informations refusent d’être divulguées tant qu’il n’a pas montré les crocs.

Derrière l'écran

Avatar : Goro Takemura (Cyberpunk 2077)
Pseudo : Sieben
Âge : 25 ans
Pays : France
Fréquence de connexion : Beaucoup/7
Comment as-tu connu Street Wyrd ?: HE
Quelque chose à ajouter ?: Non.

Signes distinctifs

De taille moyenne mais solidement charpenté, des cheveux grisonnant de plus en plus retenus en chignon haut, une allure sobre sans aucune fioriture qui permette de le distinguer au sein d’une foule… Si ce n’était pour ses yeux noirs à l’iris auréolée de blanc et toute la cybernétique qui parcourt son corps, Shin’ichi aurait presque pu détonner dans le paysage de Nexus par son apparence trop banale.

Une cicatrice court le long de sa joue gauche, brisant la symétrie de ses pommettes renforcées ; vieux souvenir de ses premières années au sein de la police qu'il a toujours refusé de se faire retirer. C'est pour lui un symbole, une façon quotidienne de se rappeler pourquoi il se bat.

Quoi qu’il ne semble plus tout jeune, il est plus vieux que son apparence n’y laisse croire, une longévité accrue grâce aux bons traitements d’une vie passée dans la Haute et sur le billard.

Caractère

Dire de Shin’ichi qu’il est obstiné serait certainement en-deçà de la réalité. Son but ultime, protéger toute la métahumanité, est aussi son principal motif de vie, tâche qu’il s’évertue à mener à bien depuis presque un demi-siècle maintenant.
Du jeune homme naïf et plein d’espoir sortit d’école avec les félicitations du jury, il ne reste désormais qu’un vieil homme cynique et désabusé. Ses curseurs moraux ont bien changé depuis ses débuts à l'académie. D’entraves en trahisons, il s’est endurci au point de ne plus toujours savoir où se trouve la limite entre ce qu'il est acceptable de faire compte tenu des circonstances et ce qui devient de l'acharnement pur et dur. Violent par nécessité il n'hésitera pas à tordre les doigts de quelque informateur véreux, pourvu que ses lumières le mènent jusqu'à son but. Évidemment, il n'y prend pas le moindre plaisir.

Si ses airs semblent aussi froids que l'acier qui épouse son corps, il est toutefois loin d'être insensible. Incapable de rester stoïque face à la détresse d'autrui, il n'est ainsi pas rare qu'il accepte de travailler à des tarifs ben inférieurs à ce qu'il demande lorsque la situation de ses clients semblent désespérée. Peut-être n'a-t-il pas perdu toute sa naïveté enfantine après tout.
Farouchement protecteur et loyal, il ne saurait proférer le moindre mensonge à une personne qu'il tient en estime et la protégerait de son corps envers et contre tous. Souvent franc au point d'en devenir involontairement blessant, il n'a jamais compris quel mal on peut bien reprocher à son certain manque de tact.

Enfin, constat évident par son métier, Shin'ichi est un fin observateur qui se repose énormément sur sa mémoire, améliorée, pour se remémorer tout détail d'une scène passée qui pourrait se révéler crucial sous un nouveau jour. De plus, il compte beaucoup sur ce qu'il aime à appeler son sixième sens, intuition cultivée par des années à examiner des scènes de crimes sous toutes leurs coutures, pour le garder sur le qui-vive et lui laisser une sensation d'inconfort lorsque certaines choses ne semblent pas à leur place.

D’une vie passée à pourchasser en vain un idéal de justice, que reste-t-il de ses nobles aspirations lorsqu’elles le poussent à se fondre dans les ombres qu’il a toujours combattu avec ferveur ?
(c) linus pour Epicode
Sierra Borgia
Sierra was never
Sierra was never
Surnom : Medusa sur les papiers illégaux, l'autre vipère pour les rageux.
Age : 38 ans
Métatype : Anthropomorphe, la peau ornée d'écailles de serpent.
Allégeance : Ceux qui ont de la thune et sont prêts à lui céder, opportuniste née. Ancienne Mox, ancien toutou de la Völva.
Occupation : Propriétaire d'un nightclub, le Kaitangata
Quartier : Tumatauenga, Moyen Nexus.
Signe(s) distinctif(s) : L'air légèrement consternée, tout le temps, tous les jours de sa vie, pas sa faute si personne ne réfléchit.
Type : Magicienne.
Points : 326
Lun 14 Mar - 0:19

# Sierra Borgia

IL EST LÀ Shin'ichi Takagi | Les dingues et les paumés 2533655441 Shin'ichi Takagi | Les dingues et les paumés 2533655441 Shin'ichi Takagi | Les dingues et les paumés 2533655441

Re-bienvenue chez toooi c'est trop bien de te voir te multiplier surtout avec ce perso tout gris qui a la tête de TAKEMURA Shin'ichi Takagi | Les dingues et les paumés 1606165602 Il est déjà super intéressant alors hâte d'en lire plus  Shin'ichi Takagi | Les dingues et les paumés 4175811618

Bref, que de bons choix alors hop hop hop on finit cette fiche Shin'ichi Takagi | Les dingues et les paumés 3829326673
Shin'ichi Takagi
Chien de garde
Age : 62 ans
Métatype : Humain
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Occupation : Détective
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Lun 14 Mar - 10:43

# Shin'ichi Takagi

Ça y est je suis là ! Shin'ichi Takagi | Les dingues et les paumés 1222593646
Comment résister à Takemura en même temps, c'est LE genre de perso que j'attendais depuis si longtemps dans un jeu Shin'ichi Takagi | Les dingues et les paumés 1606165602

Errrrh ui madame, pardon madame ! *pars au pas de course*
J'espère qu'il sera à la hauteur de tes attentes Shin'ichi Takagi | Les dingues et les paumés 3756303964
Quildor Sunwar
Septième cercle
Septième cercle
Surnom : Quil
Age : 78 ans
Métatype : Elfe
Allégeance : Rebellion
Occupation : Inflitré chez Völva
Signe(s) distinctif(s) : Visible: oeil gauche mauve cybernétique, tatouage sur le visage et les doigts, pierre incrustée dans son front, oreilles pointues
Points : 349
Lun 14 Mar - 11:32

# Quildor Sunwar

Eh bah voilà le nouveau meilleur pote de Quil !

Hâte d'en savoir plus sur ce vieux monsieur xD
Shin'ichi Takagi
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Lun 14 Mar - 12:54

# Shin'ichi Takagi

On va pouvoir parler bizz'bizz tous les deux, on a une ville à renverser Shin'ichi Takagi | Les dingues et les paumés 1957256402

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