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Diamond on a Landmine
- Surnom : Vic - Vicky
Age : 24 ans
Métatype : Humaine
Allégeance : Mox
Occupation : Hôtesse d'accueil au Camelot
Quartier : L'Asgharta
Signe(s) distinctif(s) : Tenue flashies, maquillage voyant, très longue chevelure tressée.
Type : Une jambe (droite) robotique, Sa vraie jambe ayant été amputée suite à un accident.
Autre : Discrète - amicale - joviale - naïve - utopiste.
Points : 105 
Mar 24 Mai - 18:46
# Victoria Allister
Déjeuner en paix
Le soleil s’apprête à se lever quand Victoria termine le boulot. Elle a commencé il y a quelques jours à travailler pour les Mox, ayant pour tâche de tenir l'accueille au Camelot. Elle participe ainsi à la vie nocturne Nexus. Cette situation semble quelque peu étrange pour la jeune femme, qui se retrouve partagée entre les avantages et les inconvénients de son nouveau métier.
Elle n’en est pas spécialement fière… Désormais les Mox avaient beaucoup d'emprise sur son quotidien…
Mais en même temps cette opportunité lui permet de garder un toit au dessus de la tête et de manger tout les jours.
En sortant du Camelot, la blondinette lève la tête pour observer la voûte céleste. Les étoiles ne sont déjà presque plus visibles, effacées par le soleil qui se lève et les divers projecteurs et les innombrables enseignes lumineuses de Nexus. Les premiers courageux se rendent déjà au boulot et les premiers commerces ouvrent. La jeune femme observe aussi du coin de l'oeil quelques soiffards de la veille, qui n'ont visiblement pas réussi à retrouver leur chez-eux... Inutile de traîner plus longtemps que nécessaire ici...
Sur le chemin qui la mène jusqu’à son studio dans le quartier de l’Asgharta, l’estomac de Victoria émet quelques plaintes.
*J’ai trop la dalle…*
Réduisant son allure, elle jette un œil à chaque petit commerce qu’elle croise. Ici dans le quartier d'Avalon, on ne peut pas dire qu’ils soient très reluisants et nombreuses sont les échoppes aux vitrines cassées et aux façades sales et délabrées. Victoria choisit de passer son chemin, se disant qu’elle trouvera des shops un peu plus attirants plus près de chez elle.
Elle continue ainsi son chemin.
Quand elle arrive enfin dans son quartier résidentiel, une odeur de café lui titille l'odorat. Le Telos est déjà ouvert. Certaines personnes sont accoudées au bar ouvert sur la rue et ne semblent pas vraiment en quête de caféine... On ne saurait pas dire si ce sont des client nocturnes ou très matinaux... Quoi que... En voyant comme certains titubent, Victoria obtient sa réponse.
Elle s'engouffre à l'intérieur de l'établissement et observe la salle, bien plus calme que la rue.
« Bah c’est l’occasion de tester… »
Pense t-elle a voix haute.
Elle se rend au comptoir pour commander quelques viennoiseries et un grand godet de café noir corsé et sucré, puis se laisse tomber sur la chaise la plus proche avec ses victuailles. Elle allait porter son gobelet à ses lèvres quand elle reconnaît un visage familier. Cette personne qui l’avait aidée quelque temps plus tôt à se trouver un logement dans le Bas-Nexus. La première personne avec laquelle elle a sympathisé ici.
Retrouvant son dynamisme habituel, elle se redresse et se met à lui faire de grands signes avec un sourire rayonnant, l’invitant à se joindre à elle.
Dormousse pour epicode
Chien de garde- Age : 62 ans
Métatype : Humain
Allégeance : Le bien commun
Occupation : Détective
Quartier : Druj (bureau) / Asgharta (appartement)
Comptes : Piotr Askhan & Nemhain Yhel
Points : 249 
Mer 1 Juin - 18:40
# Shin'ichi Takagi
(TW mention de sang et blessures)
Tu te fais vieux Shin’ichi.
L’ex-inspecteur se passa de l’eau sur le visage, la vasque rosie du sang qui coulait de ses plaies encore fraîches.
Vieux et lent.
Il se repassait en boucle l’enregistrement de sa confrontation, cherchant avec attention quelle faille il avait bien pu rater, quel faux pas il avait commis. Mais la réalité était aussi simple que difficile à accepter ; il n’avait plus la verve de ses jeunes années et son chrome, malgré son rigoureux entretien quotidien, n’était plus aussi fiable qu’à son installation.
Il inspecta son visage, l’œil violacé, la lèvre fendues, le nez –qu’il aurait certainement dû remettre en place s’il n’avait été renforcé par le passé– et la pommette rougis, puis passa un doigt sur ses gencives pour s’assurer de la tenue de ses dents et en retirer les derniers amas de sang agglutinés par sa salive.
Faut revoir tes appuis. Mieux tenir ta garde.
La peau sur ses côtes avait noirci à vue d’œil. Cassées ? Il tâta l’hématome du bout des doigts, réprimant une grimace, leur faisant danser une chorégraphie maintes fois répétées. Non, simplement fêlées.
Il soupira et épongea l’eau ruisselante sur sa peau d’une serviette presque propre.
Ca guérira vite.
Peut-être plus autant qu’à l’époque, mais toujours plus que pour un humain lambda. Pas besoin d’un médecin pour ce qu’il avait.
J’en ai connu des plus rudes.
(Fin du TW)
Représailles des Animals, un petit souvenir pour lui rappeler qu’ils n’apprécient guère les nez trop fureteurs. Il n’était même pas certain de ce qui lui avait exactement valu une telle déconvenue, ses dernières enquêtes ne les avaient pas concernés pour ce qu’il en savait. La dernière pour laquelle certains de leurs membres étaient partie prenante remontait à… quoi, trois semaines ? Un mois peut-être ?
Ca semblait étonnamment long pour un groupe dont la patience n’était pas le facteur le plus reconnu. Peut-être que ça signifiait qu’il fallait qu’il rejette un œil à certaines de ses affaires en cours. Avait-il suivi une piste plus fructueuse qu’il ne l’avait cru jusque lors ?
Shin’ichi jeta un regard par la fenêtre de son salon ; les lueurs orangées annonçaient l’arrivée imminente du soleil. Eh bien. Pas de repos pour les braves. Il était rare qu’on se présente aux aurores à son bureau, mais il ne servirait à rien qu’il en repousse l’ouverture –il ne ferait rien d’autre que tourner en rond et ressasser la catastrophe de cette nuit tout en examinant de vieux dossiers. Quitte à faire la même chose, autant que ça se passe à La Druj, le bureau laissait mieux passer la lumière que son vieil appartement à peine moins miteux.
Des habits propres sur le dos et ses cheveux rabattus en un chignon serré il prit la route vers la Moyenne. Un café au passage ne lui ferait certainement pas de mal –et ce ne serait sans aucun doute que le premier d’une longue série.
Le Telos, étonnamment sur le chemin de tout à l’Asgharta, se trouva être un choix évident puisqu’il passait également devant. Sa commande adressée à l’hôtesse holographique, il plongea le nez dans l’affichage de son commlink tandis que des robots s’affairaient à préparer son mocha du matin –il préférait habituellement son café noir et sans sucre, mais il ne s’interdisait pas un petit écart de temps à autres. Ainsi absorbé dans la revue des dossiers qu’il transportait toujours avec lui (jamais rien de trop sensible, on ne sait jamais où ça peut finir), ses mésaventures nocturnes s’estompaient pour laisser place à son sérieux habituel et il manqua de peu de ne pas apercevoir les signes qu’on lui adressa une fois son gobelet récupéré. Ses yeux étaient prévus pour passer au crible une scène de crime, mais dans la cohue de la ville il valait mieux en diminuer la sensibilité sous peine de devenir fou sous l’afflux d’informations.
Un sourcil haussé, pas loin du summum de l’expressivité selon ses standards, il lui fallut un court instant pour s’assurer qu’un tel sourire lui était destiné avant de recoller les cheveux colorés à leur propriétaire. Ah, Victoria, une jeune fille qu’il avait aidé lors de ses premiers pas dans la Basse après qu’une connaissance commune les ait présentés –comment aurait-il pu rester de marbre en connaissant son parcours en plusieurs points semblable au sien.
Il ne s’était jamais considéré comme une particulièrement bonne compagnie, n’avait pas plus cherché à améliorer les choses, mais refuser son invitation à la rejoindre aurait été impolie aussi abandonna-t-il temporairement sa lecture pour la rejoindre sur une des chaises vacantes qui l’entourait. De plus ils ne s’étaient plus recroisés depuis un petit moment, ce serait peut-être l’occasion de s’assurer qu’elle s’acclimatait bien à sa nouvelle vie.
« Bonjour Victoria, comment vas-tu ? » Salua-t-il sobrement tandis qu’il prenait place. « Je vois que tu as découvert l’incontournable de l’Asgharta depuis notre dernière rencontre. » Poursuivit-il avant de dissimuler l’ombre d’un sourire taquin derrière une première gorgée de son café.
Tu te fais vieux Shin’ichi.
L’ex-inspecteur se passa de l’eau sur le visage, la vasque rosie du sang qui coulait de ses plaies encore fraîches.
Vieux et lent.
Il se repassait en boucle l’enregistrement de sa confrontation, cherchant avec attention quelle faille il avait bien pu rater, quel faux pas il avait commis. Mais la réalité était aussi simple que difficile à accepter ; il n’avait plus la verve de ses jeunes années et son chrome, malgré son rigoureux entretien quotidien, n’était plus aussi fiable qu’à son installation.
Il inspecta son visage, l’œil violacé, la lèvre fendues, le nez –qu’il aurait certainement dû remettre en place s’il n’avait été renforcé par le passé– et la pommette rougis, puis passa un doigt sur ses gencives pour s’assurer de la tenue de ses dents et en retirer les derniers amas de sang agglutinés par sa salive.
Faut revoir tes appuis. Mieux tenir ta garde.
La peau sur ses côtes avait noirci à vue d’œil. Cassées ? Il tâta l’hématome du bout des doigts, réprimant une grimace, leur faisant danser une chorégraphie maintes fois répétées. Non, simplement fêlées.
Il soupira et épongea l’eau ruisselante sur sa peau d’une serviette presque propre.
Ca guérira vite.
Peut-être plus autant qu’à l’époque, mais toujours plus que pour un humain lambda. Pas besoin d’un médecin pour ce qu’il avait.
J’en ai connu des plus rudes.
(Fin du TW)
Représailles des Animals, un petit souvenir pour lui rappeler qu’ils n’apprécient guère les nez trop fureteurs. Il n’était même pas certain de ce qui lui avait exactement valu une telle déconvenue, ses dernières enquêtes ne les avaient pas concernés pour ce qu’il en savait. La dernière pour laquelle certains de leurs membres étaient partie prenante remontait à… quoi, trois semaines ? Un mois peut-être ?
Ca semblait étonnamment long pour un groupe dont la patience n’était pas le facteur le plus reconnu. Peut-être que ça signifiait qu’il fallait qu’il rejette un œil à certaines de ses affaires en cours. Avait-il suivi une piste plus fructueuse qu’il ne l’avait cru jusque lors ?
Shin’ichi jeta un regard par la fenêtre de son salon ; les lueurs orangées annonçaient l’arrivée imminente du soleil. Eh bien. Pas de repos pour les braves. Il était rare qu’on se présente aux aurores à son bureau, mais il ne servirait à rien qu’il en repousse l’ouverture –il ne ferait rien d’autre que tourner en rond et ressasser la catastrophe de cette nuit tout en examinant de vieux dossiers. Quitte à faire la même chose, autant que ça se passe à La Druj, le bureau laissait mieux passer la lumière que son vieil appartement à peine moins miteux.
Des habits propres sur le dos et ses cheveux rabattus en un chignon serré il prit la route vers la Moyenne. Un café au passage ne lui ferait certainement pas de mal –et ce ne serait sans aucun doute que le premier d’une longue série.
Le Telos, étonnamment sur le chemin de tout à l’Asgharta, se trouva être un choix évident puisqu’il passait également devant. Sa commande adressée à l’hôtesse holographique, il plongea le nez dans l’affichage de son commlink tandis que des robots s’affairaient à préparer son mocha du matin –il préférait habituellement son café noir et sans sucre, mais il ne s’interdisait pas un petit écart de temps à autres. Ainsi absorbé dans la revue des dossiers qu’il transportait toujours avec lui (jamais rien de trop sensible, on ne sait jamais où ça peut finir), ses mésaventures nocturnes s’estompaient pour laisser place à son sérieux habituel et il manqua de peu de ne pas apercevoir les signes qu’on lui adressa une fois son gobelet récupéré. Ses yeux étaient prévus pour passer au crible une scène de crime, mais dans la cohue de la ville il valait mieux en diminuer la sensibilité sous peine de devenir fou sous l’afflux d’informations.
Un sourcil haussé, pas loin du summum de l’expressivité selon ses standards, il lui fallut un court instant pour s’assurer qu’un tel sourire lui était destiné avant de recoller les cheveux colorés à leur propriétaire. Ah, Victoria, une jeune fille qu’il avait aidé lors de ses premiers pas dans la Basse après qu’une connaissance commune les ait présentés –comment aurait-il pu rester de marbre en connaissant son parcours en plusieurs points semblable au sien.
Il ne s’était jamais considéré comme une particulièrement bonne compagnie, n’avait pas plus cherché à améliorer les choses, mais refuser son invitation à la rejoindre aurait été impolie aussi abandonna-t-il temporairement sa lecture pour la rejoindre sur une des chaises vacantes qui l’entourait. De plus ils ne s’étaient plus recroisés depuis un petit moment, ce serait peut-être l’occasion de s’assurer qu’elle s’acclimatait bien à sa nouvelle vie.
« Bonjour Victoria, comment vas-tu ? » Salua-t-il sobrement tandis qu’il prenait place. « Je vois que tu as découvert l’incontournable de l’Asgharta depuis notre dernière rencontre. » Poursuivit-il avant de dissimuler l’ombre d’un sourire taquin derrière une première gorgée de son café.
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